Collège d’Histoire et d’Analyse de la Radiodiffusion

Regarder le passé pour mieux travailler le présent et envisager l’avenir

Nous proposons plusieurs axes de poursuite et d’évolution :

  • sur les contenus éditoriaux
  • sur les vecteurs de ces contenus
  • sur les actions pouvant accompagner,  prolonger, amplifier ces contenus éditoriaux
  • sur les moyens à mobiliser
  • sur la structure associative portant ces actions
  • sur le management  de l’action collective.

Il est évidemment parfaitement impensable de vouloir tout réaliser en même temps. Il faut donc, tout d’abord, conforter l’existant, en inscrivant celui-ci dans la réalité communicationnelle d’aujourd’hui. Puis, peu à peu, nous pourrons déployer de nouvelles actions, de nouveaux vecteurs, de nouveaux outils.

 

Il regroupe d’éminentes personnalités du monde de la radio et de l’audiovisuel, dont l’objectif principal vise à préserver la mémoire vivante de la radio, média particulièrement proche de ses auditrices et auditeurs.
Ses fondateurs :
-Jean-Michel Sauvage, créateur de radios, spécialiste de l’économie et du droit des médias ;
-Sébastien Poulain, universitaire, spécialiste de la radio française et européenne ;
-Alain Léger, spécialiste de l’histoire de la radio française ;
-Jean-Luc Favre-Reymond, journaliste radio et presse écrite, écrivain.
« Il a longtemps existé un comité d’histoire de la radiodiffusion et nous quatre y avons contribué », précise Jean-Michel Sauvage. « Mais ses fondateurs, la plupart très âgés, ont souhaité la dissolution de cette structure. Nous avons donc décidé, en cette année symbolique de 2021 -100 ans de la radio en France et 40 ans de liberté de communication audiovisuelle, notamment en FM- d’engager une nouvelle étape ».
D’ores et déjà, un comité de soutien a été créé, qui regroupe, à ce jour, 101 personnes : professionnels de l’antenne, du management média, de la technique et des services. Mais aussi des chercheuses et chercheurs, enseignants… ou simples amoureux du média radio.
« Les profils sont très divers, en effet », confirment Alain léger et Jean-Luc Favre. « Par exemple, Pierre Wiehn, qui fut, entre autres, l’un des grands directeurs de la radio publique. Ou Antoine Lefébure, qui a lancé Radio Verte, alors pirate, en 1977. Et, bien sûr, de très nombreux responsables de radios, publiques et privées, nationales et locales, associatives et commerciales. »
Le CHAR entend prendre toute sa part à la Fête de la Radio, promue par le CSA/Conseil Supérieur de l’Audiovisuel, et prévue pour fin mai prochain, à Paris et dans toute la France.
Sébastien Poulain l’affirme : « la Radio est bien vivante, malgré les vicissitudes du moment. En France, en 2020, ce sont 40.4 millions de personnes qui l’ont écoutée, en direct ou en podcast, en FM ou en Dab+ (numérique), sur poste ou sur smartphone ».
Et Jean-Michel Sauvage, de conclure :
« Pour bien aller de l’avant, il faut savoir regarder dans le rétroviseur. C’est ainsi que le CHAR veut avancer !